J'ai maudit ton silence où se voile une angoisse
Laisse donc mon émoi cheminer dans le noir
Car jamais rien ne tait la douleur qui me froisse
Ce destin si cruel que l'amour fait valoir
Dans le ciel une larme,
Laisse donc mon émoi cheminer dans le noir
Car jamais rien ne tait la douleur qui me froisse
Ce destin si cruel que l'amour fait valoir
Dans le ciel une larme,
J'ai noyé bien des pleurs. Que la lune décroisse !
Le chant du rossignol éclaire un encensoir
Que faut-il à l'éther que recouvre la poisse
Le grand Ra réveillant au jour le désespoir
Traînant seul une larme,
Le chant du rossignol éclaire un encensoir
Que faut-il à l'éther que recouvre la poisse
Le grand Ra réveillant au jour le désespoir
Traînant seul une larme,
Maintenant, ce désir faut-il alors qu'il croisse ?
Éveille un avenir au reflet d'un miroir,
Le chagrin d'une vie efface autant l'audace
Et dans ce doux regard l'étoffe d'un mouchoir
Essuyait une larme,
Éveille un avenir au reflet d'un miroir,
Le chagrin d'une vie efface autant l'audace
Et dans ce doux regard l'étoffe d'un mouchoir
Essuyait une larme,
Je n'ai plus observé l'amertume qui trace,
Lentement dans le cœur s'illuminant le soir,
L'essence même folle en ce corps si fugace,
Et délivre en son fond l'ivresse d'un terroir
Arrosé d'une larme.
Lentement dans le cœur s'illuminant le soir,
L'essence même folle en ce corps si fugace,
Et délivre en son fond l'ivresse d'un terroir
Arrosé d'une larme.
Maria-Dolores
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